A qui les CPGE littéraires s'adressent-elles ?
● Les futurs étudiants en classes préparatoires littéraires doivent avoir un dossier honorable, voire solide, dans les différentes disciplines des lettres, langues et sciences humaines et sociales au lycée, ainsi qu’en mathématiques pour la filière B/L. La répartition des horaires entre les différentes disciplines en CPGE littéraires est équilibrée et le programme est exigeant dans toutes les disciplines.
● Dans votre cursus au lycée, ne vous contentez pas d’une préparation « basique » au baccalauréat mais n’hésitez pas à vous confronter à des exercices d’approfondissement. Au-delà du travail scolaire, être capable de lire et de s'informer de manière autonome dès le lycée constitue la meilleure préparation possible. |
Choisir une classe prépa littéraire c'est se laisser le temps de la réflexion avant de se spécialiser dans une discipline ou dans un type de carrière. L'encadrement● L’intensité du travail, dans le cadre de cours magistraux, de travaux dirigés et du travail personnel de chacun.
● Le grand nombre d’évaluations, permettant à l’étudiant de progresser dans toutes les disciplines : devoirs réalisés à la maison ou sur table, concours blancs, « colles » (entraînements oraux individuels). ● Le maintien d’un encadrement semblable à celui du lycée, propice au développement d’un suivi individualisé. Le suivi des parcours● Une individualisation des parcours, avec le choix entre plusieurs options et spécialités.
● La sécurisation des parcours : toutes les CPGE ont passé une ou des conventions avec des universités, ce qui permet aux étudiants d’obtenir la reconnaissance des compétences acquises sous forme d’ECTS (European Credits Transfer System) et de poursuivre leur cursus en Licence ou en Master s’ils n’ont pas intégré d’école au terme du concours. La diversité des débouchés● Les banques d'épreuves de la BEL et de la BLSES permettent d’entrer dans un grand nombre d’écoles.
● Par ailleurs, les anciens étudiants de khâgne intègrent également d’autres écoles réputées (écoles de journalisme, EHESS, IEP au niveau master…). ● On retrouve ainsi d’anciens khâgneux dans l’enseignement et la recherche, la haute fonction publique, la culture, les médias et le monde de l’entreprise. |